Cap vers le Nord, au-delà du 80°N.

Depuis Paris... jusqu'aux étendues glacées du Svalbard.

Le plus au nord possible. Gabriel, architecte de formation, explorateur dans l’âme, souhaite se lancer sur les routes, depuis chez lui à Paris jusqu’aux terres glacées du Svalbard. Il contacte Aurèle, réalisateur et photographe, ami de longue date et récent compagnon de voyage. Ils partent découvrir, rencontrer, filmer, interroger, pour 4 mois d’aventure à travers l’Europe. 

4 700 KM

4 MOIS

PAYS
0

L'équipe

Notre projet ? Le plus au nord possible par nos propres moyens.

De retour de Finlande, Gabriel, parisien passionné de montagne s’engage dans sa première expédition professionnelle et devient l’initiateur du projet Borealis. Ne pouvant partir seul et voulant partager ce voyage pour lui donner du sens, celui-ci contacte Aurèle Guyot, ami de longue date et compagnon habituel de voyage qui partage également cette envie. Proposant de s’associer à Antonin, rencontré lors d’un bivouac à plus de 2000m d’altitude dans les Écrins quelques mois auparavant, celui-ci adhère rapidement au projet et c’est désormais en trio qu’ils se lancent dans cette aventure.

Gabriel

24 ans, de la banlieue parisienne

Étudiant en architecture

« En explorant les déserts, les massifs montagneux, les jungles et les forêts avec famille et amis dès mon enfance, j’ai développé une passion pour le voyage et la découverte. Mon expérience passée sera donc un atout dans cette nouvelle aventure vers les voies du pôle. »

Aurèle

24 ans, de la banlieue parisienne

Réalisateur et photographe

« Réalisateur et photographe, j’ai vécu un an et demi au Québec pour suivre une formation en réalisation de film documentaire. Voyageur dans l’âme, j’ai déjà parcouru le Québec en auto- stop, sillonné l’Europe en train, traversé la France en vélo et découvert la Birmanie à pied. »

Antonin

24 ans, du Jura

Baroudeur

« Casquette toujours vissée sur la tête, j’ai rejoins l’aventure
Borealis après avoir rencontré Gabriel lors d’un bivouac à plus de 2000m d’altitude dans les Ecrins. Originaire d’un petit village du Jura, j’ai passé mon enfance dans la nature à arpenter les forêts à pied ou à vélo. »

Les vélos

Quelques ajustements sont nécessaires selon le terrain et les exigences de nos cyclistes mais c’est précisément dans cette adaptabilité que réside la splendeur du vélo. Après plusieurs discussions et essais entre ELLIPSE et nos deux acolytes, nous sommes finalement parvenus à un arrangement parfaitement adapté !

Contrairement aux SUNRIDERS, l’équipe a été confrontée à un périple plus roulant composé majoritairement de routes bitumées. Ils ont donc préféré des pneus plus fins et un guidon route afin de permettre des positions plus basses. Ils ont également apporté moins de modifications aux autres périphériques, ayant un itinéraire plus adapté à la configuration initiale du M1.

  • Selle : Brooks B17  

La selle des voyageurs par excellence. Se forme à la morphologie du cycliste au bout de quelques centaines de kilomètres et apporte dès lors un rapport confort/durabilité sans égal. 

  • Pneus : SCHWALBE Marathon Plus Tour SmartGuard 700x40c 

Des pneus plus larges et crantés, profitant du renfort maximal développé par Schwalbe contre les crevaisons, afin d’enchaîner les kilomètres tous chemins sans risquer la panne.

  • Porte-bagage avant : Tubus Tara Lowrider 

La rolls des portes-bagages avant, une résistance à toute épreuve pour des itinéraires sollicitants. 

  • Porte-bagage arrière : Atranvelo COMMUTE Sport 

Equipé d’une plateforme fermée large, réglable en hauteur et permettant de transporter jusqu’à 27kg de charge. 

  • Bagagerie :

2 sacoches Thule à l’avant, 2 sacoches Thule à l’arrière – 76L 

1 sac The North Face – 30L 

1 sacoche de cadre Restrap Mid – 5L 

1 sacoche de guidon Thule – 2L 

Quelques questions pour nos aventuriers !

‘’Nous partons le plus au nord possible par nos propres moyens’’, ça c’est la phrase qui résume le plus notre intention en tant que voyageurs. Maintenant pourquoi on part, ça mérite un peu plus d’explications.   

Nous avons choisi de voyager en suivant un cap, une direction, qui ne doit en aucun cas devenir un but en soi. Nous voulons dire par là, que l’itinéraire et la ‘’destination’’ n’ont pas d’importance en soi mais doivent plutôt servir de support à un voyage. C’est le cadre de notre périple, le but est donc d’aller voir ce qui se passe là où l’on aura l’occasion de passer.   

Cependant, nous partons aussi comme auteurs, réalisateurs et de ce fait, cadreurs pour le film documentaire que nous avons écrit. Ce film documentaire aura également un but parallèle, qui est aussi de documenter et tourner les images nécessaires à notre film. Entre notre vie quotidienne, les rencontres prévues et celles qui s’improvisent, les surprises d’un voyage, il y a de quoi tourner assez souvent…  

On est en octobre 2020 quand Gabriel vint proposer à Aurèle une idée un peu bizarre : Et si on allait le plus au nord possible ? ‘’Ouais carrément… Pourquoi ?’’ Et de là, l’itinéraire se trace assez facilement. D’abord, on se demande ce que l’on va utiliser comme moyen de transport et ensuite on trace un première itinéraire grossier partant de Paris, remontant l’Europe jusqu’aux derniers cap au Nord de l’Europe, en Norvège. Ça c’est pour la partie à vélo car le nord de l’Europe ne correspond pas tout à fait au dernier cap, en effet, on peut encore aller plus au nord. Nous avions déjà décidé de continuer ce périple au Svalbard mais pas à vélo pour le coup, pour une raison assez simple, il n’y a ni routes, ni chemins, ni traces possibles au Svalbard. Nous avions donc comme objectif non pas le Cap Nord comme beaucoup de nos collègues cyclistes itinérants mais Tromsø, légèrement en dessous du Cap Nord mais port de liaison avec l’archipel du Svalbard.  

En affinant l’itinéraire, nous avons décidé de suivre pour la majeure partie du chemin plusieurs Eurovélo traversant ainsi le nord de le France, la Belgique par le Sud, en remontant l’Allemagne jusqu’à Lübeck puis nous avons traversé le Danemark pour gagner le Sud-Ouest de la Suède. Ensuite nous avons traversé la Suède en diagonale afin de rejoindre Sundsvall à l’Est sur la côte du golfe de Botnie et suivis presque cette côte jusqu’à la frontière finlandaise. Nous continuons alors vers le Nord, joindre l’extrémité septentrionale de la Finlande à Kilpisjärvi et enfin nous entrons en Norvège et rejoignons Tromsø.   

Ellipse a été la toute première marque à nous suivre dans cette aventure et ainsi notre premier partenaire. Nous avions basé nos recherches sur nos besoins. Pour cette aventure, il nous fallait un vélo robuste, auquel on puisse accrocher des portes bagages qui permettent de supporter une longue route en itinérance, avec certains poids dessus.

Lorsque nous sommes rentrés en contact avec Ellipse, la marque nous a proposé de nous suivre en nous prêtant tout le matériel nécessaire. En échange, nous devions tester le tout nouveau M1, à peine sortis d’usine, en le confrontant immédiatement à un voyage long et chargé. Cela comprend les vélos, la bagagerie et le matériel de réparation de base. Ça c’est la base du partenariat mais là où nous sommes allés plus loin ensemble c’est sur l’accompagnement, dans l’équipement et le choix du vélo en lui-même.

Sur le matériel technique par exemple, le choix des tailles de pignons adaptées à notre périple, le type de guidon ou le choix des pneus etc. Ce dialogue et support de la part des équipes d’Ellipse s’est avéré important et apprécié au sein même du voyage, car il arrive toujours quelques petits ennuis sur un long voyage… 

Nous ne sommes pas cyclistes. Cela étant dit, nous avons tous les deux l’habitude de nous déplacer à vélo dans notre vie quotidienne. Ce projet n’est d’ailleurs en aucun cas un défi sportif de gagner le nord à vélo. Pour nous, c’est d’abord un moyen de transport et de voyage qui correspond à notre façon de nous déplacer.

Aurèle avait un peu d’expérience lointaine de VTT, principalement en forêt. Cependant, nous avons décidé de nous tester sur une semaine en autonomie afin de voir notre cohésion et notre rapport à ce mode de voyage. Nous sommes donc partis sur les routes de la Loire à vélo, l’été 2021, sur nos vélos personnels.

Nous n’avons pas fait d’entraînement sportif spécifique en cyclisme avant de partir. Cependant, nous roulions presque tous les jours en vélo, parfois sur de longues distances pour nous rendre à des rendez-vous d’entraînement en kayak, ou même pour rendre visite à nos sponsors quelques jours avant Paris, par exemple …

La suite immédiate du périple à vélo, a été bien sûr, l’aventure du Svalbard et d’un autre mode de transport : le kayak de mer. Tout aussi chargé, mais avec nettement moins de mécanique ! 

Sinon la suite de l’expédition c’est principalement de terminer notre film. Cela implique des heures de dérush, de réécriture, de montage, etc.

Bientôt à venir, on l’espère !  

Embarquez dans l'aventure !

E2 ST

Vélo à assistance électrique

E1

Vélo à assistance électrique

M1.2

Vélo musculaire